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 Alexander D. K Duchesne : Despite my pretty face, I'm a real rebel

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Alexander D. K Duchesne

Alexander D. K Duchesne

STUDY/JOB : Flic
AGE : 28
Alexander D. K Duchesne : Despite my pretty face, I'm a real rebel Sebastian-stan-gifs-birthday-8132014-15
MESSAGES : 94
ARRIVE(E) LE : 20/07/2014
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MessageSujet: Alexander D. K Duchesne : Despite my pretty face, I'm a real rebel   Alexander D. K Duchesne : Despite my pretty face, I'm a real rebel EmptyJeu 31 Juil - 20:06




Alexander David Duchesne

Je m'appelle Alexander David Duchesne. J'ai 28 ans. Je suis flic à Saint-Tropez. Je suis d'origine française. Je suis issu d'une famille aisée, par conséquent, je vis plutôt bien. Je suis actuellement célibataire, mais mon ex-copine attend un enfant de moi. Je suis hétérosexuel. J'ai 3 frères et sœurs et deux demi-frères. Mon père est mort en Afghanistan et ma mère, c'est remarier avec un Russe.

Je suis quelqu'un de très impulsif, j'agis avant de réfléchir. Mais mon plus grand défaut est mon impatience. Je déteste attendre, quand un mandat est trop long à arriver, je vais le chercher moi-même. Je suis quelqu'un de très franc. Je dis ce que je pense que cela plaise au non. J'ai séduire, mais les coups d'un soir, ce n'est pas trop mon truc, j'aime bien revoir la fille après (même si ça ne dure pas). Mais je n'ai pas que des mauvais défauts, je suis très protecteur, surtout envers mes frères et sœur. Je suis très généreux et gentil, même si je suis très blagueur et que j'aime me moquer (ma sœur Thalia en fait souvent les frais). Mais le plus important dans ma vie, c'est que ce n'est pas la première. Je suis un second-chances, et je me souviens de mes deux vies.



• Sarounette/Sarah.

Bonjour tout le monde, je m'appelle Sarah et j'ai 19 ans. Je suis modératrice sur le forum second chances. J'avais fait du rpg, il y a quelques années, mais j'avais abandonné à cause dans mauvaise expérience sur un forum, mais depuis quelque mois, je me suis remis et j'adore toujours ça. J'ai connu le forum grâce à ma cousine qui est la fondatrice. Lorsqu'elle m'a proposé de faire partie de l'aventure, j'ai tout de suite accepter. Si tu as la moindre question, je suis là.


Dernière édition par Alexander D. K Duchesne le Dim 3 Aoû - 9:23, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: Alexander D. K Duchesne : Despite my pretty face, I'm a real rebel   Alexander D. K Duchesne : Despite my pretty face, I'm a real rebel EmptyDim 3 Aoû - 8:54




∞ A life in prison.

3 juin 1986, il est presque huit heures quand ma mère est arrivée à la maternité de Chicago. Elle était âgée de seulement seize ans. Elle était issue d'une famille des bidonvilles. Elle était tombée enceinte lors d'une fête bien arrosée. La question, que je me suis toujours posée, est qui était mon père. Ma mère le savait, mais n'a jamais voulu me le dire. « Il n'a pas voulu de toi, il n'a jamais demandé ta garde et c'est mieux comme ça. » C'était la phrase qu'elle ne cessait de me répéter. Je suis né ce jour-là d'une mère adolescente, sans le moindre sous et sans famille, et d'un père inconnu. C'était un magnifique moyen de commencer une vie.

Mon enfance n'a pas été aussi difficile qu'on peut le penser. J'avais une mère aimante, malgré que je ne la voyais que très rarement. Elle jonglait entre deux jobs pour pouvoir nous nourrir. J'allais à l'école du quartier, j'avais des amis. Pas très recommandable, je vous l'accorde, mais c'était ma seconde famille. Quand je n'allais pas à l'école, je passais beaucoup de temps dans les bas quartiers de Chicago. Il faut bien l'avouer, j'ai fréquenté beaucoup de membres de gang, sans parler des nombreux dealers, mais je n'y ai jamais touché. Pourquoi ? Je ne sais pas, peut-être qu'au fond, je n'avais pas envie de devenir comme eux : des gens défoncés du matin au soir, ou des membres de gang recherchés par la police. Voilà comment, se résumait ma vie : aller à l'école, trainer, aider ma mère à la maison.

Ma vie a pris un véritable tournant quand j'ai rencontré Juliana. J'avais 16 ans, je faisais souvent le mur, pour aller en soirée. Ce soir-là, je n'avais pas du tout l'intention de sortir, mais un de mes amis m'y avait obligé. Dès que je suis arrivé, je l'ai vu. Elle se trouvait à l'entrée, en train de fumer. Je vais vous passer tout notre rencontre. Ce n'est pas qu'elle n'est pas intéressante, mais elle est assez longue. Donc ce qu'il faut savoir, c'est que c'était un coup de foudre, tout à coller entre nous. Nous étions tellement différents, et même temps si similaire. Elle ressemblait à un cheval sauvage (en sens figuré), elle était tellement libre, tellement sauvage, mais surtout elle était la créature la plus magnifique que j'ai jamais vue. Entre nous, c'était, je t'aime, moi non plus. On se disputait sans arrêt, mais nous nous réconcilions aussi vite. J'aimais Juliana, j'étais prêt à tout pour elle, même à commettre l'irréparable.

Ce qui nous a poussé à commettre un braquage, je n'en sais rien. On se croyait simplement invincible. Au fond, je faisais sa pour aider ma mère, mais pourquoi Juliana l’a fait, je n’en sais rien. Nous sommes arrivés à la banque cagoulée, et avec des armes à feu qu'un ami de gang, m'avait refilé. Mais le braquage ne sait pas passer comme on l'avait prévu. Un des vigiles a essayé de nous empêcher de braquer la banque. Le coup est parti tout seul. Jamais, au grand jamais, Juliana n'aurait voulu tuer quelqu'un. On est parti, sans rien prendre. On est resté deux semaines en cavales. Mais un soir, j'ai pris la décision qui a changé ma vie. J'ai laissé une lettre avec un billet d'avion pour la France, à Juliana et je suis parti me rendre à la police. J'avais seulement 18 ans, j'ai été jugé pour homicide involontaire avec dix ans de prison.

La prison n'a pas été aussi difficile. J'étais très jeune quand j'y suis rentré. Les plus âgés, mais surtout ceux qui se trouvaient dans la prison depuis un certain moment m'ont pris sous leurs ailes. Dans la lettre que j'avais laissée à Juliana, je lui disais de ne jamais me contacter, et c'est ce qu'elle a fait. Chaque fois que je m'endormais, je voyais son visage, chaque courbe de son corps, chacune de nos disputes. J'espérais au fond de moi qu'elle avait pu rejoindre la France, qu'elle avait réussi à refaire sa vie, qu'elle était heureuse. Moi, je n'étais pas malheureux, j'avais à manger, j'avais des gens avec qui parler. Au début, ma mère venait me voir de temps en temps, et puis elle a fini par ne plus venir. Le plus drôle dans l'histoire, c'est qu'au fil des années, je me suis retrouvé avec des amies d'enfance, qui faisaient partie d'une gang. J'avais toujours espéré ne jamais finir comme eux, et j'étais comme même en prison.

Durant les dix années passées à la prison, j'ai plus de gens que j'en saurais le dire. Il y avait des meurtriers qui n'étaient autres que de simples personnes qui cherchaient à nourrir leurs familles. Il y avait aussi de vrais tueurs, qui faisaient pour le plaisir. En règle générale, ceux-là, finissaient dans le couloir de la mort. Mais ceux pour qui j'avais le plus de dégout, c'étaient les pédophiles. Ils restaient jamais très longtemps, car les prisonniers ont une morale, on ne touche pas aux enfants. On les retrouvait souvent tabassé à mort, ou pendu dans leur cellule. Mais jamais, je n'ai manqué de rien, seulement de ma mère et de Juliana.

En 2014, je suis enfin sorti de prison. La première chose, que j'ai voulu faire est d'aller voir ma mère pour lui demander pardon. Mais en arrivant à notre ancien appartement, c'est un couple qui m'a ouvert. C'est en redescendant dans le hall de l'immeuble, que le gardien m'a interpellé. J'ai su à ce moment pourquoi ma mère a cessé de venir me voir à la prison. Ce n'était pas un choix, elle se trouvait seulement dans le cimetière de la ville. Trois ans après mon incarcération, elle avait eux une tumeur aux cerveaux. Elle est morte d'un anévrisme. La prison n'avait même pas daigné me l'annoncer.

En allant sur la tombe de ma mère, je me suis rendu compte, qu'aujourd'hui, il n'y avait plus rien qui me retenait sur cette terre, il était temps pour moi de retrouver ma mère. Juliana se trouvait à l'autre bout de la Terre, et ma mère, elle se trouvait dix pieds sous terre. Je n'ai jamais regretté de griller ce feu.





∞ story of a gambler.

"Chère Juliana,
Je t'écris cette lettre, tout en sachant que je ne pourrais jamais te l'envoyer. C'est le contrat que j'ai passé avec le puits. Mais j'ai besoin de savoir que cette lettre existe. Si un jour, par je ne sais quel miracle, tu reçois cette lettre, n'es pas peur, et lis là jusqu'au bout. Tu as sans doute du apprendre mon décès dans les journaux. Un accident de voiture, me semble-t-il. Sache que ce n'est pas un simple accident, j'ai délibérément appuyé sur l'accélérateur. Mais ce n'est pas le plus important, car on m'a permis de vivre une seconde vie. Aujourd'hui, je m'appelle Alexander David Duchesne. Pour la petite anecdote, je devais m'appeler Alexandre David, les deux prénoms de mes grands-parents, mais mon père s'est trompé en écrivant mon nom. Pendant deux semaines, mes parents m'ont appelé Alexandre, jusqu'au jour, ou à reçus les papiers de ma naissance. Mon père a piqué une colère, mais ma mère, elle avait bien rigolé. J'ai vécu une enfance parfaite, très différente de la dernière. Quand j'avais trois ans, ma mère a accouché de jumeaux et 7 ans plus tard d'une magnifique petite fille. Ma famille est l'une des plus riche de la ville, c'est surtout un héritage familiale. Ma s'occupe des biens de la famille et mon père était militaire. Tu as bien lu, j'ai employé le passé, il est mort quand j'avais 16 ans en Afghanistan. Ma famille était bouleversée, je suis rapidement devenu le chez de famille. À l'age de 18 ans, je suis rentré à l'école de police. J'en suis ressortie quelques années plus tard. Je suis aujourd'hui Lieutenant de police, au commissariat de Saint-Tropez. Ma mère s'est remariée à un Russe qu'il a deux enfants. J'ai du mal à m'entendre avec le plus vieux, mais Bliss est si gentille que je l'aime comme m'a propre sœur. Mais ma vie n'est pas aussi belle que tu peux le penser, je suis hanté par ton souvenir, par chaque courbe de ton visage et de ton corps. Ce souvenir et celui de mes années de prison m'ont fait commettre la pire erreur de toute ma vie. Mon ex copine, Mia, m'a annoncé qu'elle attendait un bébé. Je dois t'avouer que j'ai pris peur, j'ai revu toutes les atrocités de la prison, j'ai repensé à tous les pédophiles qu'on avait tabassés, et je me suis enfuie comme un lâche. Je suis revenu quelque temps plus tard pour me faire pardonner, mais il était trop tard. Mia a accepté que je fasse partie de la vie de mon fils, mais pas de la sienne. Voilà ma nouvelle vie, elle te parait plus simple que l'ancienne, mais les souvenirs la rendent difficile.
PS : je sais que tu ne recevras, jamais cette lettre, mais elle me donne le courage d'avancer.
Je t'embrasse. Alexander"
J'ai rangé cette lettre, pour ne plus jamais la ressortir. Il est vraiment tant que j'avance, pour ne pas regretté ma nouvelle vie.
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