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∞ story of a gambler.
Cher journal numéro je ne sais combien, Comment expliquer toute sa vie en si peu de ligne ? Alors commencement par le commencement, je m’appelle Wyatt comme tu le sais, depuis que j’essaye d’écrire. Je commence toujours un journal comme toi, mais ne le finis jamais et ne sais toujours pas pourquoi…Mais je divague et je m’emmêle les pinceaux comme une nouvelle expression que je viens d’apprendre. Comme tu le sais aussi mes parents viennent tout droit de deux pays différent : mon père, Riccardo, vient d’un pays non loin de la France, qui a comme spécialité, les pizza, les pâtes, la mozzarella et les lasagnes bien entendu et j’en passe et bien sûr le Vatican que j’oubliais. Comme tu as sans doute compris, mon père est italien et viens d’un petit village non loin de Rome. Et ma mère vient de la Grosse Pomme si on peut dire, elle vient des quartiers d’Upper East Side de New York : deux mentalités différentes, deux personnes que toutes opposes, mais qui se sont rencontrer dans la bonne vieille vieille ville de Saint-Tropez. Je t’évite du pourquoi et du comment, comment ils se sont rencontrés ou peut-être que si mains rapidement alors, ma mère du nom de Cécilia était sur un yacht de plusieurs millions d’euros tandis que mon père, Riccardo était marin pour les vacances. Rien de banal, mais ce jour-là, mon père la vu et ce fut un coup de foudre comme dans les films hollywoodiens. Bien sûr il a ramé, par que pour son travail bien sûr. En quelques années plus tard, mes parents tombaient amoureux et là l’histoire prit un autre tournant. Ce qui veut dire voyager, faire la fête et bien sûr s’aimer. Ils étaient amoureux de cette ville, mais ils étaient obligé de partir, l’aventure est mieux à deux. Quelques mois plus tard, mes parents furent émerveiller par la ville de Sydney en Australie et là ils décidèrent de ne plus repartir pour de bon : leur terre promise était là devant leur nez jusqu’à leur mort. Recommençons où nous en étions, je m’appelle wyatt, pourquoi le prénom Wyatt ? Même moi je ne sais pas pourquoi, apparemment c’est très répondu en australie alors mes parents ont suivis la mode tout simplement. Je suis né un beau jour du vingt juillet 1992 vers environ minuit trente du matin ou du soir c’est comme vous le sentez. Mes parents ont choisi Nathaniel comme deuxième prénom, car cela leur rappelait la France, Saint-Tropez, un ancien marin qui n’était pas tout jeune et qui les avez aidé comme un bon samaritain ou un peu à la Roméo et Juliette. Je suis le seul homme de la famille avec mon père bien entendu et je ne suis pas le premier de la famille Claybourne. J’ai une grande sœur, danseuse en Australie et patineuse artistique depuis quelques années maintenant du nom de Carrie qui a deux ans depuis que moi. Après j’ai que des petites sœurs, aux plus grands de mes malheurs. (a) Une petite sœur de deux ans ma cadette du nom de Marie. Puis une petite sœur de seize ans, dix ans et de deux ans. On peut dire que mon père et moi vivons un enfer. Tout se passait bien dans le meilleur de monde, au départ je ne voulais pas du tout être un architecte, c’est un deuxième choix ou plutôt une deuxième passion, bien sûr ma première passion est le sport. Surtout le surf, en tant qu’australien, c’est un culte si on peut dire. Mon enfance a été parfaite, mes parents m’ont indiqué ou éduqué toutes leurs valeurs, le respect, l’amour de l’autre, l’auto-défense, s’amuser et surtout faire à fond ce que l’on fait. Mais tout ce bonheur allait disparaitre en très peu de temps puisque un accident allait chambouler toutes nos vies enfin surtout la mienne. Mon père, moi et quelques amis de mon père étions réunis sur un petit bateau pour trouver de bonnes vagues pour pouvoir surfer en ce jour de août 2008, il faisait un temps où personne ne pouvait surfer, mais tout ce petit groupe voulait surfer surtout moi honnêtement. La mer commençait à s’agiter et je décidais de commencer à surfer pour montrer que je pouvais être un homme et surtout être un compétiteur. Mon père refusait catégoriquement une première fois puis acceptait à demi-mot. Je me mis sur ma planche et nageait jusqu’à une grosse vague, je me lève et glisse sur la vague avant contre toute attente de me faire avaler littéralement par la vague, de tomber en arrière de la planche, me prendre des roches énormes et surtout de perdre connaissance dans l’eau. Puis plus rien, je sentis juste mes jambes me piquer affreusement. Ce sont les seul souvenirs que j’ai. En me réveillant, on a dû me faire une transfusion de sang et surtout me dire que je ne ressentirais plus rien à la jambe gauche à cause de mes conneries. En me réveillant je me retrouvais dans une tribu de la Nouvelle-Zélande. J'ai du apprendre leur coutumes, leur langage et la vie en communauté et survivre dans un petit village. Je ne me rappelais plus du tout ça et un des gardiens de ce village m'emmenais à Saint-Tropez pour faire ce que je savais faire de mieux : la construction. |