Freya Kingston

Prénom ∞ Freya, ancienne Evelyn dans l'autre vie. Nom ∞ Kingston, anciennement Stuart. Surnom ∞ Frey', Aya, soleil. Age ∞ 22 ans. Date de naissance ∞ 18 Septembre. Lieu de naissance ∞ Athènes, Grèce. Statut matrimonial ∞ En couple. Et follement amoureuse. Orientation sexuel ∞ Hétérosexuelle. Situation financière ∞ Pauvre, mais je le vis bien. Métier ∞ Serveuse, mais étudiante en art graphique. Hobby ∞ Dessiner, danser n'importe comment, rire, sourire. Observer la nature, les animaux, s'occuper des gens que j'aime, faire la folle. Qualités ∞ Souriante, attentionnée, délicate, franche, douce, sensible, drôle, folle, pétillante, à l'écoute, rêveuse, créative, ambitieuse. Défauts ∞ Jalouse, possessive, lunatique, rancunière, susceptible, m'attache facilement, cœur en mousse, renfermée quand je suis blessée, silencieuse, ne parle que très rarement de mes blessures. Autres ∞ J'ai tendance à rire pour n'importe quoi, à avoir des coups de speed, à vouloir toujours m'occuper. Je ne suis pas quelqu'un de calme, mais quand il le faut, je réfrène ma condition de folle alliée pour écouter la personne qui en a besoin. Je m'adapte, je jongle : mais le jour où je ne souris plus, ou que je n'embête plus personne, c'est là qu'il faut s'inquiéter. Groupe ∞ Plage les Canoubiers.

• FDJ/Kelly.

Salut la compagnie !  Je m'appelle Kelly, mais je préfère Fleur de jaune. J'ai 17 ans, bientôt 18, et j'ai connu ce forum par le biais d'une annonce sur un groupe Facebook. Il m'a l'air super bien, et j'ai hâte de me faire plein d'amis et de RP surtout. (Au fait, vous vendez des knackis dans le coin ?  )

∞ story of a gambler.

Ancienne vie. Vie passée. Vie révolue. Le destin voudrait que j’oublie, mais ma tête refuse de passer à autre chose. Peut-être partiellement, pas réellement, mais je me souviens de quelques trucs. Une vie pas trépidante : des études de photographie, un nom des plus banals. Mais par contre, un amour au-delà du temps, au-delà de l’imaginaire : il s’appelle Alec, et je crois bien être définitivement, et éternellement amoureuse de cet homme. Je me souviens de l’intensité des sentiments entre nous, l’intensité du premier regard, le premier baiser. Je me souviens de son rire, de son sourire. Je me souviens de tout ce qui s’est passé entre nous. Je me souviens d’un choc brutal. D’une voiture qui me rentre dedans, du pare-brise contre mon crâne. Je sens que tout se déconnecte, et que je ne peux rien faire pour ça. Et puis, un diagnostic, une maladie. La tumeur : joli nom trouvais-je, puisqu’avec une tumeur, tu meurs. Quelques semaines vivantes, et la vie m’a quitté. Un coma, apparut… Comme ça, d’un coup. Pouf. C’était mon destin, c’était le hasard. Et aujourd’hui, me revoilà ici. Une seconde chance.

Freya. C’est mon prénom. Ça sonne bien, c’est marin. Non je blague, c’était pour la rime. (Faites genre de rire, s’il vous plait) Je suis née de deux géniteurs inconnus qui n’ont rien trouvés de mieux que de m’abandonner à la naissance. Remarque, si je pouvais, je les remercierais : car sans ça, sans ce geste, je n’aurais probablement ni connu mes parents, ni revus Alec. Alec … NE va pas trop vite. Mes parents m’ont adoptée lorsque j’eus 5 ans. Ce fut l’histoire de longues années à attendre un enfant, un bébé. C’était l’histoire d’un combat contre la stérilité, d’un combat pour qu’une femme devienne mère. Et mon père, il s’est accroché à l’espoir de ma mère. Et au bout de 20 ans, ça y est, ils m’ont enfin vus. Ils m’ont pris dans leur bras, et ce fut un coup de foudre. Autant pour eux, que pour moi. Enfin, ils ont pu cesser de se battre : ils avaient un enfant, et j’avais des parents. Puis, en grandissant, j’ai appris que j’avais un frère et une sœur, issus des mêmes géniteurs, eux-mêmes éparpillés à travers le monde. Eux-mêmes dans différentes familles d’accueil. Je le savais, et au jour de mes 12 ans, j’ai écrit des lettres que je n’ai jamais osé envoyer. Je ne pouvais pas me permettre de me présenter, moi, petite gamine insignifiante, comme étant leur sœur. Non. Alors aujourd’hui, ces lettres sont encore dans un tiroir, bien planquées, afin que personne ne tombe dessus : c’est mieux pour moi, c’est mieux pour eux. Et puis j’ai grandi. Dans ma tête, certains flashbacks de mon ancienne vie. Et à mes 18 ans, le flashback qui a tout changé : je me suis rappelée d’Alec, mon ex-fiancé, et dans ma tête tout s’est déconnecté. Je vivais Alec. Je pensais Alec. Je mangeais Alec. (Oui, je vous assure, c’est très bon le Alec à la vinaigrette … Bon, trêve de plaisanterie) Et cette obsession m’a fait du mal, beaucoup de mal. J’étais obligée de garder ça pour moi. Mais je voulais, je devais le revoir. Je n’étais pas complète. Et je devais voir s’il se souvenait de moi ou pas. Mais le temps ne l’a pas voulu. Après de multiples recherches de visages, de noms, de prénoms. Après des nuits blanches à essayer de le récupérer, j’ai baissé les bras, j’ai jeté l’éponge. Et je suis partie à Saint Tropez. Pour les études, pour respirer, pour me changer les idées. L’avion, le trajet. La récupération des bagages. Et ce visage… Ce regard, ce sourire. J’étais juste tétanisée en le voyant là, au milieu de tout le monde. C’est comme si le monde avait cessé de tourner l’espace de cet échange de sourire. Et puis d’un coup, tout est redevenu normal, et il n’était plus là. J’ai eu beau courir à travers l’aéroport, j’avais beau me dire que ce n’était pas une vision : il n’était plus là, et j’étais seule. Alors j’ai repris le chemin pour aller dans mon appartement miteux, loin des quartiers chics près de la plage. Et puis le chemin des cours s’ouvre devant moi : une école chic et chère, que je n’aurais pu avoir sans l’aide de mes parents des bourses universitaires. Finalement, la voilà, devant moi, grande et fière, un peu comme moi en ce premier jour de rentrée. J’étais loin de m’imaginer que, derrière cette porte, Alec, perdu comme un enfant, m’attendait. Et voilà. Aujourd’hui, ça va faire 3 ans que nous sommes ensemble, et c’est comme si, même la mort, et l’autre vie ne nous avait jamais séparé : unis. Et pour l’éternité.