crazy little thing called love

La vie de famille était quelque chose que j’avais rêvé et construit avec mon mari. Petite, je me demandais si j’aurais un jour le droit à une famille … aimante ? Je n’avais pas spécialement projeté d’avoir des enfants, mais lorsque j’avais rencontrée Julian, c’était comme si une petite flamme était née au creux de mon cœur. Et de notre amour étaient nées trois petites étoiles. Mes trois petites étoiles. Nos trois étoiles. C’est en épluchant les légumes pour le repas du soir que je repensais à l’annonce de ma première grossesse. Dire que Julian et moi avons cru que ce n’était qu’un simple rhume … ! Je souriais doucement en repensant à tout ça. Je levai les yeux vers l’horloge de la cuisine qui affichait dix-huit heures trente. Luna était posée tranquillement dans son parc, tandis que Mélody était chez une amie jusqu’au lendemain. Harry devait certainement trainer dehors, comme bien souvent ces temps-cis et Julian allait bientôt rentrer du travail. Je jetai les légumes dans l’eau bouillante et posai un couvercle sur le dessus du plat, y enfermant la vapeur. « Bon, et bien je n’ai plus qu’à attendre … » Attendre. C’était une chose que je détestais faire. Surtout attendre le retour de Julian. Etant donné que nous faisions le même métier je ne pouvais imaginer que trop bien les risques que ça importait. Même si j’étais certaine qu’il était sur la route du retour. Sans m’en rendre compte, mes dents attrapèrent ma lèvre inférieure pour la mordiller avec hargne ; un fâcheux tic que j’avais depuis mon plus jeune âge. Une boule se forma au creux de mon estomac et j’attrapai alors un chiffon et j’essuyai nerveusement un verre déjà sec, me donnant des allures de vieux barman guettant des clients. Et contre toute attente, la porte s’ouvrit enfin. Sur Harry. Suivit de très près par son père. Je fermai les yeux une demi-seconde, lâchant un soupir inaudible de soulagement. Et je couru à leur rencontre, verre et chiffon à la main. « Hey vous deux ! » j’enchainais avec un clin d’œil complice : « C’est à cette heure-ci qu’on rentre ? » et cette fois sans vraiment plaisanter : « Enlevez vos chaussures, j’ai lavé le sol cet après-midi. » Oui, j’étais un tout petit peu maniaque. Et alors ?

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family is a blessing

La vie de famille n'était pas vraiment ce qu'on pouvait qualifier de reposant. J'adorais ma famille plus que tout, mais c'était pas toujours un long fleuve tranquille, malgré tout ce qu'on pouvait croire en regardant ce film. Film vraiment génial en passant. Je passais la plupart de mes journées dehors, c'était l'été et j'adorais en profiter, rester enfermé n'était pas vraiment mon truc, je préférais passer mes journées au skate park ou au stade avec mes amis. Même si la plupart d'entre eux étaient parti en vacances. Mon père était passé devant le skate park en voiture justement, il rentrait juste du travail et en avait profité pour me prendre au passage. On avait discuté de tout et de rien dans la voiture, sa journée, son boulot. Parfois j'avais peur, je savais que c'était un métier à risque et ma mère aussi le savait, ce qui semblait l'inquiéter de plus en plus ces derniers temps. On arrivait enfin à la maison tandis que mon père me parlait d'une grosse affaire de drogue sur laquelle il travaillait. Je souris à l'image de mon père, traquant les criminels à longueur de journée. Tu m'étonnes qu'il était fatigué en rentrant. Je passais donc le pas de la porte le sourire jusqu'aux oreilles. J'étais à peine arrivé dans l'entrée que ma mère était déjà venue à notre rencontre, torchon et verres à la main. Ça lui donnait un peu un look de barman rétro. Elle est vraiment belle ma mère, un visage anguleux, des longs cheveux et des très beaux yeux. Et pas une ride en plus ! Elle nous gratifia d'un «Hey vous deux» plein d'entrain. Je m'approchais d'elle en me hissant sur la pointe des pieds pour déposer un bisous sur sa joue. Malgré ma poussée de croissance fulgurante elle me dominait toujours de quelques centimètres. «Salut M'man» lachais-je souriant comme à mon habitude. Elle nous adressa un clin d'œil en ajoutant «C'est à cette heure-ci qu'on rentre ?» Un grand sourire illumina mon visage, j'allais répondre à sa plaisanterie tout en rentrant dans la maison quand soudain elle me coupa dans mon élan : «Enlevez vos chaussures, j'ai lavé le sol cet après-midi» Pas besoins de sous-titre pour comprendre qu'elle ne plaisantait plus. Non avec maman on ne plaisante pas sur le ménage, jamais. Elle est maniaque parfois un peu trop, et adore quand tout est parfaitement rangé. Mais bon après tout c'est grâce à elle qu'on a une maison toujours propre comme un sous-neuf. Je retirais mes vans abîmés tout en disant : «Il faisait super beau aujourd'hui y'avait pleins de monde en ville ! Et dans la voiture papa m'a raconté qu'il était sur une grosse affaire de drogue, la classe pas vrai ?» Je souris, fier du boulot de mes parents, tout en m'empressant d'ajouter : «Et toi, maman tu as passé une bonne journée ?»


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c'est ma famille et je l'aime.

J'avais hâte de rentré dans mon chez moi, dans ma petite famille. Enfin petite nous avions quand même trois enfants ! Je me souviens alors que je ne connaissais pas encore Jude. Je disais tout le temps une phrase du genre « Le mariage c'est pas pour moi les enfants encore moins ! » ou encore « J'en veux pas ... je serais trop irresponsable de toute façon » Mais à la rencontre de Jude c'est tout mon univers qui ses bousculer et à présent j'étais marié à la plus merveilleuse des femmes et dans notre petit cocon avec Harry Mélody et Luna, j'étais ... heureux ! comme jamais je ne l'avais jamais été auparavant ! mais ... les enfant ... ça grandit trop vite à mon goût et je préférerais les voir ne pas grandir ! Papa poule ? non je laisse se côté à Jude ! mais quand ils sont petit ... ils ne se disputes pas tout le temps entre eux !

Les heures passais et j'avais la tête dans les papiers une grosse affaires de drogue ... Tout le monde avais déjà quitter le bureau et j'en faisais de même récupérant Harry au passage qui comme à chaque fois, m'avais posé des questions sur l'affaires qui étais en cours. « Hey vous deux ! » ahhhh c'étais bon de renté chez soit ... «Bonjours ma chérie ! » et bien sûr comme je m'y attendais ... «Enlevez vos chaussures, j'ai lavé le sol cet après-midi» ah ... ma femme étais toujours aussi maniaque et ordonner c'étais rassurant ! je n'avais pas déteint sur elle au moins ! Je retirais alors mes chaussures les rangent dans le placard avant qu'elle me le demande tandis qu'Harry étais déjà entrain de poser des questions qui étais en soit des questions normales que l'on demande à quelqu'un que l'on a pas vue de la journée.   «Il faisait super beau aujourd'hui y'avait pleins de monde en ville ! Et dans la voiture papa m'a raconté qu'il était sur une grosse affaire de drogue, la classe pas vrai ?» Je pense que Harry étais fière de notre travaille et c'étais parfois amusant ! Peut-être que plus tard il suivra nos traces et deviendra un grand policier ! «Et toi, maman tu as passé une bonne journée ?» Je levais les yeux au ciel passant à côté du jeune garçon, je lui frottais les cheveux puis d'un air amuser : «Rho Harry doucement ! Il y a pas le feu au lac !» Je m’arrêtais près de Jude lui glissant un baiser sur les lèvres je lui tendis un bouquet de magnifique fleur. J'aimais lui offrir des fleurs !

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crazy little thing called love

Voilà. Tout était de nouveau normal. Enfin, il me manquait ma petite Mélody, mais j’avais les deux hommes de ma vie tout souriants devant moi. Harry s’approcha et me claqua un baiser sur la joue. Je le maudissais de grandir si vite … Dans quelques temps il me dépasserait et je crois que je ne pourrais pas m’empêcher de le materner encore plus. Il n’avait que quatorze ans. « Que » ou « déjà » ? C’était en partie à cause de ça que nous passions notre temps à nous disputer : Nous, les parents qui refusaient de voir grandir leur enfant contre lui, adolescent ayant un réel besoin d’émancipation. Mais ça, jamais je ne lui dirais que j’ai compris ce qu’il cherche. Car cela voudrais dire que j’ai admit qu’il ai grandit. Or … ce n’est pas du tout le cas. Pour le moment. Bref, je dévorais à mon tour ses joues de quelques bisous avant de l’écouter. Un large sourire fendit mon visage, surtout lorsqu’il me parla de son père et de l’affaire de drogue. Ça avait toujours intéressé Harry, ce que Julian et moi-même faisions comme métier. Julian. Je levai mon regard clair vers lui, souriant d’avantage. « Ah oui, une grosse affaire de drogue ? Ouh, ça sent la journée assis derrière un bureau à écouter les supérieurs bavasser ça ! » Évidemment je plaisantais. À moitié. Et puis je répondais à la question de notre jeune garçon. « Et bien je … » Mes les lèvres de mon mari me stoppèrent. Comme à chaque fois, ma peau frissonna doucement à leur contact et alors que je m’apprêtais à lui rendre, il se détourna pour m’offrir un bouquet de fleurs. Et pas n’importe quelles fleurs ! Des fleurs d’une couleur douce, rosées, violettes, un peu rouge, jaunes … et avec un parfum si délicat ! « Oh, Julian ! » je lui aurais presque sauté au cou ! Je pris le bouquet en humant l’odeur, fermant les yeux quelques secondes. « Hmm, tu sens ça Harry ? » Je lui tendis le bouquet pour qu’il sente. Puis je regardai à nouveau Julian et le remercia chaleureusement. Je me raclai la gorge et continuai donc : « Donc, je disais, et bien ce matin j’ai emmené Mélody et Luna au parc, dans sa poussette bien entendu, et nous avons mangé dehors. » je marquai une pause, posant les fleurs dans un pot vide, posé au milieu de la table de la cuisine. « Ensuite j’ai déposé Mélody chez son amie, je suis rentrée avec Luna et j’en ai profité pour ranger ta chambre –qui s’apparentait à une véritable porcherie Harry ! » je lui tirai la langue à la fin de cette phrase et lui claquai un baiser sur le front. « Je te taquine, bien sûr ! Toi au moins, tu mets tes sous vêtements sales au sale ! » je levai les yeux au ciel, taquinant à présent Julian.  

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family is a blessing

J'avais à peine prononcé la fin de ma phrase que mon père m'ébouriffait les cheveux en me disant qu'il n'y avait pas le feu au lac. Mon père avait toujours aimé m'ébouriffer les cheveux, il le faisait depuis mon plus jeune âge, ça leur accordait sûrement, à lui et ma mère, que j'étais encore un petit garçon. Mes parents étaient comme tous les parents après tout, leurs enfants grandissaient trop vite à leur goût. J'enlevais mes chaussures histoire de détourner le regard et laisser un petit moment d'intimité à mes parents qui étaient en train de se bécotter dans l'entrée. Mon père est un grand romantique, il lui arrive souvent de ramener des fleurs à ma mère, des cadeaux, pleins de petites attentions qui le caractérisait d'éternel amoureux. Parfois, je me demande ce qu'ils seraient devenus tous les deux, sans enfants. Peut-être leurs vies auraient-elles été plus tranquilles, remplies d'amour malgré tout. Je me doutais bien que mes parents auraient eu du mal à contenir tout l'amour maternel et paternel qu'ils nous portent aujourd'hui, à mes soeurs et moi. J'aurais aimé les connaître avant qu'ils aient des enfants, avant qu'ils m'aient moi, je me doutais qu'ils n'étaient absolument pas les mêmes personnes que celles que j'avais devant moi. J'avais à peine sorti la tête du placard de l'entrée que déjà ma mère me collait les fleurs que mon père venait de lui offrir sous le nez. Les yeux clos, j'humais ces si belles plantes, signe d'un amour inconditionnel. Elle se racla la gorge, emportant les fleurs avec elle, en nous insitant à la suivre. Elle commença à nous raconter sa journée, tout en mettant les fleurs dans un beau vase au milieu de la table de la cuisine. Je faisais attention à ce que disait ma mère et la fin de son récit me piqua au vif : «J'en ai profité pour ranger ta chambre, qui s'apparentait à une véritable porcherie Harry !» Ma mère ponctua sa phrase en me tirant la langue. On aimait bien se taquiner tout les deux avec ce genre de petits pics, mais ça restait toujours gentil, et ça n'allait jamais bien loin. Je répliquais moi aussi sur le ton de la plaisanterie : «Moi je m'y retrouve, la preuve je perds jamais rien !» Cette réplique était bien sûr ironique, j'ai souvent la tête dans les nuages, et je perds facilement les petits objets indispensables de la vie de tous les jours. Comme les cartes de cantine, les tickets de bus, les clés, ce genre de petites choses. Je suis comme ça j'y peux rien ! Ma mère s'approcha de moi et déposa un baiser sur mon front avant d'ajouter : «Je te taquine bien sûr ! Toi au moins, tu mets tes sous vêtements sales au sale !». Elle leva les yeux au ciel, et pas besoins d'être Einstein pour comprendre qu'à présent elle taquinait mon père. J'éclatais de rire en ajoutant : «Et je ne laisse pas traîner mes chaussettes partout dans la maison !» Je me dirigeais vers mon père et appuyais ma tête contre son épaule. Mon père était mon modèle sur le plan vécu, la famille, la situation économique mais pas sur le plan de la vie commune ! Ses chaussettes traînaient toujours dans chaque pièce de la maison et ses sous vêtements n'étaient jamais dans le bac à linge sale. C'était souvent ma mère qui, maniaque comme pas deux, passait derrière lui pour ranger la maison de fond en comble. D'un coup, mes yeux se posèrent sur une casserole sur le feu, je ne pu m'empêcher de demander : «Qu'est ce qu'on mange ce soir ?» J'étais un adolescent en pleine croissance, la nourriture était une priorité chez moi ! Après tout il fallait bien que je me nourrisse pour grandir !

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c'est ma famille et je l'aime.

J'étais ravi que les fleures plaisent à Jude ! J'avais toujours aimer lui apporter des petits cadeau comme ça, pour rien juste comme ça, juste pour lui faire plaisir et la voir sourire. La plupart du temps, j'optais pour des fleures faisant toujours attention à prendre le plus beau bouquet du moins celui qui lui plairait le plus. De préférence avec ses fleures préférées ou alors, le bouquet le plus parfumer ! Elle le mettais sous le nez de Harry se qui me faisait rire doucement. Puis appuyer contre le contoire de la cuisine je l'écoutais raconter sa journée, un petit sourire au lèvres alors qu'elle mettait les fleures dans un vase. Puis elle traitais la chambre de Harry de porcherie se qui me fit encore plus sourire « Je ne sais pas de qui tu tient pour être autans bordéli ... » je regardais ma femme ouvrant la bouche pour répliquez mais Harry renchaînais que je laissais traîner mes chaussette partout. Genre moi je laisser mes vêtement sale partout dans la maison, comme çi c'étais mon style ! Bon ok j'avoue que parfois ça m'arrive mais pas tout le temps quand même ! si ?
Je les regardais tour à tour avant de leurs tiré la langue « D'abord c'est pas vrais je laisse pas mes chaussette partout ... et mes sous-vêtement non plus ! » Je fit mine de bouder tout de même amuser puis Harry vient se caler contre moi et je le serrer alors dans mes bras. « Mais je vous aime quand même ! » Puis ... L'estomac sur pâtes qui me servais de fils demanda se qu'on mangeais, en même temps c'est vrais que ça s'entais bon ! et mon estomac venais grogner comme pour ponctuer la question de Harry.
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crazy little thing called love

Taquiner, gronder, féliciter, aimer … J’ai le loisir de penser que nous étions une famille « réussie ». Même si parfois quelques cris retentissaient dans le cocon familial, nous nous aimions plus que tout. C’était ces petits moments de complicité qui me donnaient un sourire sincère et une pêche du tonnerre. Arrangeant une dernière fois la mise en place de mes toutes nouvelles fleurs, je tournai la tête vers Julian, un air faussement choqué. Puis il nia en bloc le fait de tout laisser trainer derrière lui et j’haussai les épaules, amusée. Je ne trouvai rien à répondre à sa mauvaise foi. Il avait toujours été comme ça, et … c’était comme ça que je l’aimais. Alors que les garçons s’étreignaient, je me dirigeai vers le salon, prenant ma dernière fille dans mes bras. Elle devait avoir faim … comme Harry et Julian visiblement. « Vous venez à peine de rentrer ! » Gardant un irremplaçable petit sourire sur mes lèvres, je déposai Luna et ses babillements incessants dans les bras de son père. Ravie, la petite chipie lâcha un cri strident ; normal pour un bébé de son âge. Je la dévorai d’un regard maternel. J’étais sûre qu’elle deviendrait une petite fille adorable, toute aussi attachante que sa grande sœur. Et puis je revins à la réalité. « Ah, oui, donc on mange un poulet au curry et au miel, avec tout pleins de légumes, supers bons pour la santé ! » Je jetai un œil au repas. « C’est bientôt prêt, tu m’aide à mettre la table Harry ? » C'était plus un ordre qu'une question ...

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