James Michael Hawkins

Je m'appelle James Hawkins. Mes parents m'ont donné un deuxième prénom, ce que je trouve un peu bête, puisque personne ne le connais généralement, ou ne m'appelle par ce prénom. Mais bon, Michael est tout de même écrit sur ma carte d'identité. Je suis ce qu'on appelle un pansexuel : je tombe amoureux des gens selon leur personnalités. Indépendamment du sexe. Même si, physiquement, certaines personnes me plaisent plus que d'autre. J'ai 26 ans, presque 27, puisque je suis né le 18 octobre 1987, à IndianaPolis, dans l'Indiana. J'ai déménagé en France, d'abord à Bordeaux, quand j'avais 11 ans, et après, à mes 14 ans, je suis arrivé à Saint-Tropez, chez ma tante et mon oncle, qui sont des portugais émigrés en France, comme ma mère était une émigrée Portugaise aux Etats-Unis, et qui habitent aux Canoubiers. Autant dire qu'au départ, la France et moi, c'était pas le grand amour. Déjà, il a fallu apprendre une langue de plus. Et ce n'est pas chose aisée, surtout quand on est plus grand. Et je trouvais que les enfants étaient tous tellement différents parce qu'ils avaient une autre culture. Mais dès l'adolescence, j'ai appris doucement à appris à m'habituer à la vie ici. Si j'habitais chez mes oncles, c'est à cause d'une histoire étrange avec mes parents, que j'ai préféré éviter. Autant l'avouer, ma vie n'est pas très simple. Enfin, pas vraiment. Mais bon, la vie de chacun est assez compliqué, je pense.

Je pense pouvoir dire que je suis quelqu'un d'assez simple, qui ne se prend pas la tête pour rien. De nature assez discret, je dois avouer que dire ce que je pense aux gens n'est pas pour me faire peur. Même si je sais prendre des pincettes pour ne pas vexer. La vérité est toujours bonne à dire et à entendre. Je suis plutôt pessimiste, à dévaloriser tout résultat de situation inattendue. Malgré tout, je sais rester assez déterminé à avoir quelque chose, même si je me dis souvent que ça va être très difficile. J'aime faire la fête, mais pas dans l'excès, je ne bois pas d'alcool, à cause de soucis de santé.

Niveau relations amoureuses, j'ai toujours eu un peu de mal à les faire durer. Je suis majoritairement sorti avec des filles, mais j'assume totalement le fait qu'au niveau de l'attirance, je sois différent. Ça ne plaît pas toujours, mais comme le dit Tia Zélia, on est qui on est, et les gens doivent nous accepter comme tel.

• Mélaïs/ Naïs

Alors, moi, c'est Naïs. Enfin, Mélaïs sur la toile, parfois HopelessHeart, quand le pseudo n'est pas déjà pris.. Sinon.. J'ai 19 ans depuis un mois. Je fais des rpg depuis deux ans et demie,  et des forums depuis bientôt un ans.. Je pense pas écrire énormément, enfin, j'essaie de pas faire trop de fautes, parce que je suis très inattentive, donc je me relis une quinzaine de fois.
Je vis dans le sud de la France, et j'ai une vie bien remplie, même si socialement, c'est pas vraiment ça xD Non, j'ai des amis, mais j'ai pas l'occasion de les voir souvent : la semaine, j'ai généralement cours, le week-end, un coup je bosse l'autre je suis chez mon père. Même si ça ne m'empêche pas d'être présente assez souvent. Même si je suis pas toujours active, puisque quand je rentre, je suis fatiguée, et je me couche comme les poules. Pendant les vacances, c'est plus souple (et heureuusement, j'ai envie de dire), donc mis à part quand je suis en voyage, je peux être là presque tous les jours xD Bref, sinon, je suis pas bien méchante, je mords personne, enfin, sauf cas exceptionnel, mais je pense pas en arriver à tuer qui que ce ne soit xD

∞ story of a gambler.

à 26 ans, presque 27, James peut dire que sa vie a été un océan de mouvements. C'était comme si chaque année de sa vie lui a amené un soucis, un évènement particulier. Quelques temps après sa naissance, ses parents se sont fâchés avec le reste de la famille. Il est vrai que de garder le contact avec des gens qui ne se trouvent pas sur le même continent, entourés par d'autres océans et mers, ce n'est pas toujours facile. Mais les relations avaient toujours été quelque peu conflictuelles, ce qui n'arrangeait nullement les choses. Et puis, à ses cinq ans, suite à une dispute entre ses parents, il est allé vivre avec sa mère, dans une des contrées d'IndianaPolis.  Là-bas, il a pu apprendre à jouer du piano, ce qu'il s'est découvert être un don. A ses six ans, il savait parfaitement jouer en lisant les partitions. Sa mère l'a, par la suite, inscrit au conservatoire de l'Indiana. La musique est l'une des choses qui lui a permis, en grandissant, de s'éloigner un peu des habitudes et des tensions familiales. Mais ce n'était pas l'unique moyen.
En effet, James a pu assez vite découvrir qu'il aimait une chose : se mettre en danger. Et cela passait par l'adrénaline et les sports à risques. Il arrivait à attiser le danger sur différents sports, et la trouille pendant un exercice fut vite un pur plaisir pour lui. C'est par l'escalade qu'il commença, passant ensuite par le saut en hauteur, de l'accrobranche de compétition, ou même du saut en parachute. N'importe quoi qui le fasse se sentir vivant. A ses douze ans, il avait déjà essayé tous les sports qui lui donnaient le frisson. Et il en avait besoin, puisqu'à dix ans, ses parents étaient revenus ensemble, pour débarquer en France, à Bordeaux.. Pour le meilleur, mais surtout pour le pire. Les disputes avaient recommencé, et les difficultés aussi.
Les français n'ont pas vraiment le même mode de vie que les américains. Ils parlent très mal l'anglais, et pour James, qui ne comprenait pas un seul mot de la langue nationale, autant dire que ça n'aidait pas vraiment à tout ça. Les cours étaient beaucoup plus fatigants qu'à Indianapolis : ils prenaient toute la journée. Oui oui, du petit matin à la fin de l'après-midi. Bien loin des demi-journées habituelles... Mais il eut à peine le temps de s'intégrer à dire vrai, puisqu'à peine quelques années après son arrivée en France, alors qu'il commençait à parler correctement, malgré son accent bien américain. La raison de ce déménagement ? Des ennuis avec ses parents, les disputes devenant de plus en plus intense. Tellement qu'ils ont oublié de venir le chercher pendant un de ses voyages à la gare. Il est resté pendant 25h, à les attendre. N'ayant pas de téléphone, il était impossible de les joindre. Et c'est sans compter les soucis que son père lui avait amené en sortant avec la petite amie de son fils. Le juge des affaires familiales françaises a décidé de laisser James à sa plus proche famille : son oncle et sa tante du côté de sa mère, qui s'étaient fait un plaisir de garder avec eux leur neveu qu'ils avaient si peu connu. A saint tropez, James avait vraiment tout d'un étranger. Mais les gens là-bas l'ont accepté, l'ont adopté. Tant mieux, pour la première fois de sa vie, alors qu'il avait 14 ans révolus, il se sentait à sa place. Il a continué les études, sans être forcément très voyant dans le sens qu'il faisait l'idiot ou qu'il était très doué, mais il a réussi à avoir son diplôme sans soucis. A côté, il continuait ses loisirs, notamment le surf, auquel il s'abandonnait facilement. La vie a vite avancé, et James est devenu amis avec des gens, cachant le fait qu'il était pansexuel, au départ. Puisque ce n'est pas chose répandue, et qu'il ne savait pas comment ce serait reçu. Au fur et à mesure, à a été quelque chose qu'il s'est mis à assumer, avec le soutien de Zélia, sa tante. Elle l'a encouragé à ne pas avoir peur de qui il est.
James est désormais un étudiant en dernière année d'architecture, il travaille comme serveur à mi-temps dans un bar sur la plage. Et il a aussi beaucoup de loisirs, comme les sports extrêmes et sports de combats, comme la lutte, la boxe qu'il pratique dès son temps libre. Actuellement célibataire, il ne recherche pas forcément à être en couple, juste à profiter. De toute façon, il ne garde pas une relation assez longtemps pour être intéressé dans ça. Si sa vie à mal commencé, pour lui la seconde chance est arrivée sans faire de voeux, en déménageant chez son oncle et sa tante.