héli schester △ Le grand amour de ma vie. Il y a trois ans, lors d'un voyage qui réunissaient de nombreux jeunes talents, nous nous sommes tous de suite très bien entendu. Pendant ce voyage qui a durée environ deux mois, on était devenu inséparables, on mangeait, dormait, se baladait ensemble, se faisait des câlins et tous, tous le temps. Un peu près comme un couple, mais on ne sortait pas ensemble, car c’était si court, dans quelques temps on ne serait plus vu, alors on ne l'a même pas imaginé. Mais plus la fin du voyage approché, plus j'avais envie de lui dire se que je ressentais.
Avez-vous déjà connu le grand amour, je ne parle pas de :"oh je l'aime, c'est l'homme, la femme de ma vie." Non je parle du vrai grand amour, celui qui vous rend dingue, qui vous procure un manque terrible quand vous n'êtes pas avec elle, comme si vous étiez drogué de cette personne. Vous avez beau tous faire, être en danger, en train de rigoler avec des amis, être très occupé et bien quoi qu'il arrive vous pensez toujours à elle. Vous voyez par tout des trucs vous faisant penser à elle, vous voyez toujours son visage les yeux ouverts comme fermés. Vous l'harcelez presque de messages. Rien n'est plus important que cette personne, vous seriez prêt à tous pour elle, prêt a tué, prêt a mourir. Cette personne est toute votre vie. De toute manière je considère le mot amour et le mot mort comme des synonymes, car il y a jamais l'un sans l'autre. Et le plus fort dans tout ça c'est quand vous êtes avec cette personne. Vous avez une poussé de chaleur, vous avez envie d'exploser. Vos muscles se sers, vous avez mal au ventre. Mais aussi au cœur, car il se crispe, il bat à toute allure. Vous n'arrivez plus à respirer et vous avez qu'une envie, c'est d'être dans ses bras à jamais, ne de plus la quitter. Tout ce que vous espérez c'est que cet instant dur à pour toujours, pour l'éternité ! Comme je vous l'ai décris cela peut paraître de la souffrance et bien c'est vrai lorsque vous êtes loin de cette personne, ou encore qu'elle ne vous aime pas. Mais lorsque vous êtes avec cette personne, tous est tellement beau, c'est le bonheur.
- Du bonheur à l’état pur, brut, natif, volcanique, quel pied ! C’était mieux que tout, mieux que la drogue, mieux que l’héro, mieux que la dope, coke, crack, fitj, joint, shit, shoot, snif, pét’, ganja, marie-jeanne, cannabis, beuh, péyotl, buvard, acide, LSD, extasy. Mieux que le sexe, mieux que la fellation, soixante-neuf, partouze, masturbation, tantrisme, kama-sutra, brouette thaïlandaise. Mieux que le Nutella au beurre de cacahuète et le milk-shake banane. Mieux que toutes les trilogies de George Lucas, l’intégrale des muppets-show, la fin de 2001. Mieux que le déhanché d’Emma Peel, Marilyn, la schtroumpfette, Lara Croft, Naomi Campbell et le grain de beauté de Cindy Crawford. Mieux que la face B d’Abbey Road, les CD d’Hendrix, qu’le p’tit pas de Neil Armstrong sur la lune. Le Space-Mountain, la ronde du Père-Noël, la fortune de Bill Gates, les transes du Dalaï-Lama, les NDE, la résurrection de Lazare, toutes les piquouzes de testostérone de Schwarzy, le collagène dans les lèvres de Pamela Anderson. Mieux que Woodstock et les rave-party les plus orgasmiques. Mieux que la défonce de Sade, Rimbaud, Morisson et Castaneda. Mieux que la liberté. Mieux que la vie... Jeux d’enfants, Julien. -
Voilà ce que je ressentais à ses côtés. Mais en tous cas plus ce dernier jour arrivé, plus on se sentait mal et avait du mal a défiler car on pensé sans arrêt au jours, où nous devrons se dire au revoir, mais nous continuons tous de même a profiter à fond des deniers instants qui nous rester. Lorsque le dernier jour fût arrivé, j'étais très mal et lui aussi, nous étions l'un dans les bras de l’autre ne voulant pas se quitter. Le drame c'est qu'en allant à l’aéroport, je perdis mon portable et le pire c'est quand j'ai demandé a mon opérateur s'il pouvait faire quelque chose, il me répondit que malheureusement mon portable avait été volé et piraté, je ne sais trop quoi, après que je l'ai perdu et qu'il ne pouvait rien faire. J'ai essayé de le retrouvé par des coups de fil à l'agence qui nous a fait le voyage ou encore sur internet mais non rien, a croire que c’était le destin. On fond de moi, il restera toujours, toujours gavé dans mon cœur. Mais bon il faut continué à vivre, alors je suis passé à autre chose, j'ai plusieurs aventures d'un soir ou plus mais je suis aussi avec d'autres personnes que j'ai aimé, mais moins que lui.
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